19,90 

Théo & Hugo dans le même bateau

Un film de Olivier Ducastel et Jacques Martineau

2016 - France - 97 min - Numérique - Couleur - 2.35 - Son 5.1 - Visa n° 143 273

Avec Geoffrey Couët, François Nambot

Édition sortie le 22 novembre 2016

Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant.

Suppléments

Entretiens et avant-première
Extraits du casting
bio-filmographies
Galerie photos
Bande-annonce

Détails techniques

Durée : 97’
Durée totale : 130’
Langue : français
Sous-titres : anglais / français pour sourds et malentendants
Son : Dolby digital 5.1 / Stéréo 2.0
Format : 16/9

Plus d'infos :

Bande-annonce

Équipe technique

  • Réalisation : Olivier Ducastel & Jacques Martineau
  • Scénario : Olivier Ducastel & Jacques Martineau
  • Image : Manuel Marmier
  • Son :  Tristan Pontécaille
  • Montage : Pierre Deschamps
  • Mixage : Victor Praud
  • Décor : Barnabé d’Hauteville
  • Producteur : Emmanuel Chaumet
  • Production : Ecce Films
  • Coproduction : Epicentre Films
  • Coproducteurs : Daniel Chabannes de Sars, Corentin Sénéchal Dong-Jin
  • Distribution : Epicentre Films
  • Presse : Karine Durance

Équipe artistique

  • Geoffrey Couet : Théo
  • François Nambot : Hugo
  • Georges Daaboul : Vendeur Syrien
  • Elodie Adler : Infirmière
  • Claire Deschamps : Interne
  • Jeffry Kaplow : Voisin râleur
  • Marieff Ditier : Femme du métro

À propos

Olivier Ducastel : Passionné par le 7e art, Olivier Ducastel passe son adolescence à Rouen et, après des études de cinéma et de théâtre à l’université, intègre l’IDHEC. En 1987, il tourne Le Goût de plaire, court métrage qui révèle déjà son amour pour la comédie musicale. Assistant sur le dernier film de son maître Demy (Trois places pour le 26 en 1988), Ducastel travaille comme monteur ou mixeur sur des films de Kanevski, Chahine ou encore Christine Pascal. En 1995, Olivier Ducastel fait la connaissance de Jacques Martineau. Tous deux se lancent dans l’écriture et la réalisation d’un premier film très audacieux, Jeanne et le garçon formidable, présenté à Berlin en 1998.

Jacques Martineau : Après avoir passé son adolescence à Nice, Jacques Martineau entame des études de lettres. Diplômé de l’ENS et agrégé, il rédige une thèse sur l’Opéra et l’amour dans La Comédie humaine de Balzac. Ce passionné de musique, qui a pris des cours de chant lyrique au Conservatoire de Boulogne-
Billancourt, enseigne la littérature à l’Université de Nanterre, activité qu’il poursuivra parallèlement à sa carrière de réalisateur. En 1995, Jacques Martineau fait la connaissance d’Olivier Ducastel, monteur qui a notamment travaillé sur 3 places pour le 26. Tous deux se lancent dans l’écriture et la réalisation d’un premier film, Jeanne et le garçon formidable : comédie musicale inspirée des films enchantés de Demy, cette oeuvre légère, émouvante et discrètement militante, conte l’histoire d’amour entre une jeune fille (Virginie Ledoyen), et un garçon atteint du Sida (Mathieu Demy).

Revue de presse

« Ouvert par une magnifique séquence érotique, un film à la puissance empreinte de grâce. » LE MONDE

« Un pari réussi, entre images électrisantes et déambulation nocturnes. » L’HUMANITÉ

« Le film le plus osé formellement des réalisateurs, offrant de subtils et délicats moments. » LIBÉRATION

« Une œuvre émouvante et enjouée. » SUD-OUEST

« Un superbe exercice de mise en scène, un regard franc et généreux sur l’amour gay, un hymne à la jeunesse de deux garçons d’aujourd’hui et à celle, éternelle, du cinéma. » TÉLÉRAMA

« L’espoir existe. Théo et Hugo raconte la naissance de l’amour au beau moment où le jour se lève. » LES INROCKUPTIBLES

« Les deux comédiens, épatants, n’hésitent pas à se dévoiler physiquement avant de laisser parler leurs sentiments. » 20 MINUTES

« Un petit miracle de cinéma qui deviendra un classique. » CLAP MAG

« Un récit poignant au romantisme naïf auquel il est réconfortant de croire. » STUDIO CINÉ LIVE

« Théo & Hugo dans le même bateau a la trempe des films qui laissent des traces dans l’histoire du cinéma gay. On ne sort pas indemne de cette œuvre radicale. » TÊTU

« Un film suscitant l’émerveillement devant la pure sexualité. » TRANSFUGE

« Entre Nouvelle Vague et Red Room, le film joue la carte du temps « quasi réel » et de la fausse légèreté. Une franche réussite : tous à bord ! » BANDE À PART

« Le film gay le plus important depuis L’inconnu du Lac, une formidable proposition de cinéma alternatif. » AVOIR-ALIRE.COM

« Un film aussi poétique que charnel dans un Paris nocturne où planent le souvenir d’Agnès Varda et l’ombre d’Orphée. » CRITIKAT.COM

« Tendre sans être naïf, cru sans provoquer gratuitement, Théo et Hugo dans le même bateau est une drôle de partie de cache-cache qui mine de rien révèle beaucoup de choses. » FILMDECULTE.COM

« La scène initiale, magnifiquement éclairée, chorégraphiée et suffocante, installe le spectateur au cœur d’une tension qui ne va pas faiblir. Un pari de l’amour fou réussi. » YAGG.COM

« Prodigieux. Ce film nous rend vivant. » FRANCE CULTURE/LA DISPUTE

Festivals

  • Berlinale 2016 – Panorama
  • Mardi Gras Film Festival Sydney 2016
  • Festival Internacional de Cine Guadalajara 2016
  • Febiofest Prague 2016
  • BFI Flare Londres 2016
  • TLVFest Tel Aviv 2016